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Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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CAHIERS DE NUTRITION ET DE DIETETIQUE | DIETETIQUE | CDI | 030711 | Exclu du prêt |
Dépouillements


Létiquetage nutritionnel : entre réglementations et controverses / Nicole Darmon in Cahiers de nutrition et de diététique, 3 volume 50 (juin 2015)
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[article]
Titre : Létiquetage nutritionnel : entre réglementations et controverses Titre original : Nutrition labelling: Between norms and controversies Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicole Darmon, Auteur Année : 2015 Article : P. 131-141
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)Descripteurs : [Motbis] étiquetage Tags : Étiquetage nutritionnel Logos coloriels Profils nutritionnels Politiques nutritionnelles Résumé : Létiquetage nutritionnel est utilisé dans de nombreux pays avec pour objectif dorienter le consommateur vers des choix alimentaires plus sains. On distingue deux formes détiquetage nutritionnel : le tableau des valeurs nutritionnelles et les logos, qui sont tous deux régis par le règlement européen concernant linformation du consommateur (INCO). Le tableau des valeurs nutritionnelles est désormais obligatoire sur tous les aliments pré-emballés. Cest une information nutritionnelle uniformisée portant sur la valeur énergétique et les teneurs en graisses, acides gras saturés, glucides, sucres, protéines et sel, exprimées pour 100 g ou 100 mL de produit. Les logos sont des graphiques ou des symboles apposés de façon volontaire, généralement en face avant des emballages. La plupart portent un jugement de valeur sur la qualité nutritionnelle des aliments. Ce jugement repose sur un ensemble de critères chiffrés, appelé système de profil nutritionnel. Le gouvernement français, à travers la loi de Santé et en accord avec la législation européenne, prévoit dassocier à létiquetage des valeurs nutritionnelles un logo simple et intuitif, en face avant des emballages. Deux systèmes détiquetage coloriel simplifié, soutenus respectivement par un collectif de sociétés savantes, et par la Fédération du commerce et de la distribution, ont été proposés mais font lobjet de controverses. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Létiquetage nutritionnel : entre réglementations et controverses = Nutrition labelling: Between norms and controversies [texte imprimé] / Nicole Darmon, Auteur . - 2015 . - P. 131-141.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)
Descripteurs : [Motbis] étiquetage Tags : Étiquetage nutritionnel Logos coloriels Profils nutritionnels Politiques nutritionnelles Résumé : Létiquetage nutritionnel est utilisé dans de nombreux pays avec pour objectif dorienter le consommateur vers des choix alimentaires plus sains. On distingue deux formes détiquetage nutritionnel : le tableau des valeurs nutritionnelles et les logos, qui sont tous deux régis par le règlement européen concernant linformation du consommateur (INCO). Le tableau des valeurs nutritionnelles est désormais obligatoire sur tous les aliments pré-emballés. Cest une information nutritionnelle uniformisée portant sur la valeur énergétique et les teneurs en graisses, acides gras saturés, glucides, sucres, protéines et sel, exprimées pour 100 g ou 100 mL de produit. Les logos sont des graphiques ou des symboles apposés de façon volontaire, généralement en face avant des emballages. La plupart portent un jugement de valeur sur la qualité nutritionnelle des aliments. Ce jugement repose sur un ensemble de critères chiffrés, appelé système de profil nutritionnel. Le gouvernement français, à travers la loi de Santé et en accord avec la législation européenne, prévoit dassocier à létiquetage des valeurs nutritionnelles un logo simple et intuitif, en face avant des emballages. Deux systèmes détiquetage coloriel simplifié, soutenus respectivement par un collectif de sociétés savantes, et par la Fédération du commerce et de la distribution, ont été proposés mais font lobjet de controverses. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Difficultés rencontrées par les médecins généralistes du département de la Haute-Vienne dans la prise en charge de lobésité et pistes damélioration possibles in Cahiers de nutrition et de diététique, 3 volume 50 (juin 2015)
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[article]
Titre : Difficultés rencontrées par les médecins généralistes du département de la Haute-Vienne dans la prise en charge de lobésité et pistes damélioration possibles Titre original : Difficulties encountered by general practitioners in the department of Haute-Vienne in the management of obesity and suggestions for improvement Type de document : texte imprimé Année : 2015 Article : p. 142-149
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)Descripteurs : [Motbis] médecine générale
[Motbis] obésitéTags : Difficultés de prise en charge Résumé : En France, au moins 15 % des personnes de plus de 15 ans sont obèses. La prise en charge (PEC) de lobésité par le médecin généraliste (MG) est fondamentale, mais difficile. On dispose de peu de données concernant le ressenti du MG face à lobésité. Lenquête avait pour buts de faire le point sur les difficultés rencontrées par les MG, sur leurs propositions damélioration, et sur leur opinion globale face à lobésité.
Un questionnaire anonyme déclaratif était envoyé à 200 MG dun département échantillonnés par lUnion régional des professionnels de santé. Il relevait des données épidémiologiques concernant les MG, leurs difficultés perçues, leurs propositions damélioration et leur ressenti global face à cette pathologie. Les tests statistiques étaient le test du Chi2, le test de Fisher, le test de Student, et lanalyse de variance.
Trente-quatre pour cent des MG (n = 68) répondaient à lenquête. Un pourcentage de 27,9 % dentre eux avait une formation en nutrition. Les MG rapportaient 6,5 % dobèses dans leur patientèle et 18,6 % de surpoids. Ces valeurs nétaient pas liées à lâge, au lieu dexercice ou au niveau de formation des MG. Les femmes MG voyaient moins de patients en surpoids que les hommes (11,6 ± 3,0 vs 19,8 ± 6,9, p = 0,04). Les cinq difficultés de PEC les plus citées étaient liées aux patients : mauvais suivi des conseils dactivité physique (94,1 % des répondants), diététiques (91,1 %), psychologiques (72,0 %), manque de motivation (92,6 %), présence de troubles du comportement alimentaire (83,8 %). Un pourcentage de 58,8 % des MG se sentait inefficaces, 52,9 % pensaient avoir trop peu de temps et 50,0 % trop peu de formation. Vingt-huit pour cent des MG nétaient pas intéressés par lobésité. Linsuffisance de formation était positivement liée au sentiment dinefficacité (p = 0,007), au manque de temps (p = 0,03) au désintérêt pour lobésité (p = 0,0002). Parmi les suggestions damélioration proposées, les MG retenaient en priorité de réaliser une éducation alimentaire familiale (83,8 %) ou scolaire (80,9 %), de mieux prendre en charge lobésité infantile (83,8 %), daméliorer la PEC psychologique (76,5 %), de sensibiliser le public aux effets du temps passé devant des écrans (70,5 %), de rembourser la consultation diététique (69,1 %). Un pourcentage de 67,7 % des MG proposait une lutte contre la stigmatisation des obèses, 66,2 % une meilleure formation médicale. La création de réseaux de soins, dateliers de groupe, de structures dactivité physique étaient ensuite cités. Cependant, 82,4 % des répondants étaient globalement insatisfaits de leur PEC de lobésité.
La PEC des patients obèses ou en surpoids est une part importante de lactivité des MG mais les laisse très insatisfaits. Pour les MG, les obstacles rencontrés sont en premier lieu liés aux patients. Néanmoins, linsuffisance de formation médicale est souvent vécue négativement, avec une répercussion sur lintérêt et lefficacité des praticiens. Pour les MG des actions préventives familiales et à lécole sont prioritaires. Lamélioration de la formation médicale, le développement de certains secteurs de soins (psychiatrie, diététique, activité physique) et de réseaux, seraient des pistes à explorer pour le département étudié.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Difficultés rencontrées par les médecins généralistes du département de la Haute-Vienne dans la prise en charge de lobésité et pistes damélioration possibles = Difficulties encountered by general practitioners in the department of Haute-Vienne in the management of obesity and suggestions for improvement [texte imprimé] . - 2015 . - p. 142-149.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)
Descripteurs : [Motbis] médecine générale
[Motbis] obésitéTags : Difficultés de prise en charge Résumé : En France, au moins 15 % des personnes de plus de 15 ans sont obèses. La prise en charge (PEC) de lobésité par le médecin généraliste (MG) est fondamentale, mais difficile. On dispose de peu de données concernant le ressenti du MG face à lobésité. Lenquête avait pour buts de faire le point sur les difficultés rencontrées par les MG, sur leurs propositions damélioration, et sur leur opinion globale face à lobésité.
Un questionnaire anonyme déclaratif était envoyé à 200 MG dun département échantillonnés par lUnion régional des professionnels de santé. Il relevait des données épidémiologiques concernant les MG, leurs difficultés perçues, leurs propositions damélioration et leur ressenti global face à cette pathologie. Les tests statistiques étaient le test du Chi2, le test de Fisher, le test de Student, et lanalyse de variance.
Trente-quatre pour cent des MG (n = 68) répondaient à lenquête. Un pourcentage de 27,9 % dentre eux avait une formation en nutrition. Les MG rapportaient 6,5 % dobèses dans leur patientèle et 18,6 % de surpoids. Ces valeurs nétaient pas liées à lâge, au lieu dexercice ou au niveau de formation des MG. Les femmes MG voyaient moins de patients en surpoids que les hommes (11,6 ± 3,0 vs 19,8 ± 6,9, p = 0,04). Les cinq difficultés de PEC les plus citées étaient liées aux patients : mauvais suivi des conseils dactivité physique (94,1 % des répondants), diététiques (91,1 %), psychologiques (72,0 %), manque de motivation (92,6 %), présence de troubles du comportement alimentaire (83,8 %). Un pourcentage de 58,8 % des MG se sentait inefficaces, 52,9 % pensaient avoir trop peu de temps et 50,0 % trop peu de formation. Vingt-huit pour cent des MG nétaient pas intéressés par lobésité. Linsuffisance de formation était positivement liée au sentiment dinefficacité (p = 0,007), au manque de temps (p = 0,03) au désintérêt pour lobésité (p = 0,0002). Parmi les suggestions damélioration proposées, les MG retenaient en priorité de réaliser une éducation alimentaire familiale (83,8 %) ou scolaire (80,9 %), de mieux prendre en charge lobésité infantile (83,8 %), daméliorer la PEC psychologique (76,5 %), de sensibiliser le public aux effets du temps passé devant des écrans (70,5 %), de rembourser la consultation diététique (69,1 %). Un pourcentage de 67,7 % des MG proposait une lutte contre la stigmatisation des obèses, 66,2 % une meilleure formation médicale. La création de réseaux de soins, dateliers de groupe, de structures dactivité physique étaient ensuite cités. Cependant, 82,4 % des répondants étaient globalement insatisfaits de leur PEC de lobésité.
La PEC des patients obèses ou en surpoids est une part importante de lactivité des MG mais les laisse très insatisfaits. Pour les MG, les obstacles rencontrés sont en premier lieu liés aux patients. Néanmoins, linsuffisance de formation médicale est souvent vécue négativement, avec une répercussion sur lintérêt et lefficacité des praticiens. Pour les MG des actions préventives familiales et à lécole sont prioritaires. Lamélioration de la formation médicale, le développement de certains secteurs de soins (psychiatrie, diététique, activité physique) et de réseaux, seraient des pistes à explorer pour le département étudié.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Fonte musculaire versus croissance tumorale : un paradoxe dans le soin nutritionnel du sujet cancéreux Muscular wasting and tumoral growth: A new paradox in the nutritional care of cancer / Anne Leblanc in Cahiers de nutrition et de diététique, 3 volume 50 (juin 2015)
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[article]
Titre : Fonte musculaire versus croissance tumorale : un paradoxe dans le soin nutritionnel du sujet cancéreux Muscular wasting and tumoral growth: A new paradox in the nutritional care of cancer Titre original : Muscular wasting and tumoral growth : A new paradox in the nutritional care of cancer Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Leblanc, Auteur ; Angèle Guilbot, Auteur Année : 2015 Article : p. 150-157
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)Descripteurs : [Motbis] cancer Tags : Dénutrition Sarcopénie Protéines Leucine MTOR Warburg Résumé : La prise en charge nutritionnelle du sujet cancéreux est un enjeu important à plusieurs titres. En 1er lieu, les liens entre dénutrition et morbidité postopératoire et/ou mortalité liée au cancer sont bien établis. Il en est de même des conséquences de la dénutrition sur la qualité de vie, les performances physiques et/ou la toxicité de la chimiothérapie. Enfin, 30 à 50 % des patients atteints de cancer sont amaigris et potentiellement dénutris avant même le début du traitement. La dénutrition dans le contexte du cancer ne peut donc pas être ignorée. Cependant, lidée dalimenter la croissance tumorale par des conseils nutritionnels inappropriés est une crainte fréquemment exprimée par les professionnels de santé. Les cellules cancéreuses peuvent se comporter comme de véritables parasites métaboliques et détourner les réserves de lhôte pour alimenter leur croissance. Au centre de ce processus connu sous le nom deffet Warburg, se trouve la capacité des cellules tumorales à fonctionner grâce à la glycolyse aérobie. Ce switch métabolique implique généralement la suractivation de la voie mTOR qui nest autre que la voie activée par les nutriments, en particulier les acides aminés pour stimuler la synthèse protéique musculaire. Le statut nutritionnel est intimement lié à la masse musculaire. La perte de masse musculaire liée à lâge, la sarcopénie, peut être un facteur aggravant de dénutrition. Réciproquement, la dénutrition peut accélérer la perte de masse musculaire. Or, dans un contexte de cachexie, dénutrition et sarcopénie sont des facteurs aggravants de létat de santé du patient cancéreux. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Fonte musculaire versus croissance tumorale : un paradoxe dans le soin nutritionnel du sujet cancéreux Muscular wasting and tumoral growth: A new paradox in the nutritional care of cancer = Muscular wasting and tumoral growth : A new paradox in the nutritional care of cancer [texte imprimé] / Anne Leblanc, Auteur ; Angèle Guilbot, Auteur . - 2015 . - p. 150-157.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)
Descripteurs : [Motbis] cancer Tags : Dénutrition Sarcopénie Protéines Leucine MTOR Warburg Résumé : La prise en charge nutritionnelle du sujet cancéreux est un enjeu important à plusieurs titres. En 1er lieu, les liens entre dénutrition et morbidité postopératoire et/ou mortalité liée au cancer sont bien établis. Il en est de même des conséquences de la dénutrition sur la qualité de vie, les performances physiques et/ou la toxicité de la chimiothérapie. Enfin, 30 à 50 % des patients atteints de cancer sont amaigris et potentiellement dénutris avant même le début du traitement. La dénutrition dans le contexte du cancer ne peut donc pas être ignorée. Cependant, lidée dalimenter la croissance tumorale par des conseils nutritionnels inappropriés est une crainte fréquemment exprimée par les professionnels de santé. Les cellules cancéreuses peuvent se comporter comme de véritables parasites métaboliques et détourner les réserves de lhôte pour alimenter leur croissance. Au centre de ce processus connu sous le nom deffet Warburg, se trouve la capacité des cellules tumorales à fonctionner grâce à la glycolyse aérobie. Ce switch métabolique implique généralement la suractivation de la voie mTOR qui nest autre que la voie activée par les nutriments, en particulier les acides aminés pour stimuler la synthèse protéique musculaire. Le statut nutritionnel est intimement lié à la masse musculaire. La perte de masse musculaire liée à lâge, la sarcopénie, peut être un facteur aggravant de dénutrition. Réciproquement, la dénutrition peut accélérer la perte de masse musculaire. Or, dans un contexte de cachexie, dénutrition et sarcopénie sont des facteurs aggravants de létat de santé du patient cancéreux. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Les effets des nutriments dépendent-ils des aliments qui les portent ? Leffet matrice / Jean-Michel Lecerf in Cahiers de nutrition et de diététique, 3 volume 50 (juin 2015)
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[article]
Titre : Les effets des nutriments dépendent-ils des aliments qui les portent ? Leffet matrice Titre original : Are the nutrients effects depending from the foods which contain them? The matrix effect Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Lecerf, Auteur ; Philippe Legrand, Auteur Année : 2015 Article : p. 158-164
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)Descripteurs : [Motbis] aliment
[Motbis] nutriment
[Motbis] produit laitierTags : Matrice Biodisponibilité Céréales complètes Résumé : Leffet matrice correspond à la différence entre les effets de lingestion dune somme de nutriments et celle dun aliment. Il traduit le fait quau-delà des nutriments, il existe des composés non nutritifs, des structures physico-chimiques, des interactions, une biodisponibilité variable qui rendent compte des effets spécifiques des aliments, surtout lorsquils sont complets, entiers ou non raffinés. De nombreux exemples, concernant notamment les céréales complètes et les produits laitiers entiers, permettent dillustrer ce concept de matrice, reflet majeur de la notion de complexité en nutrition. On comprend ainsi pourquoi les apports nutritionnels conseillés ne peuvent résumer les recommandations alimentaires. Cest aussi une voie nouvelle de recherche en nutrition : elle incite à toujours plus de modestie et de prudence pour les scientifiques. Elle justifie totalement limportance de la variété pour le consommateur et de la prise en compte des process pour le professionnel de laliment. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Les effets des nutriments dépendent-ils des aliments qui les portent ? Leffet matrice = Are the nutrients effects depending from the foods which contain them? The matrix effect [texte imprimé] / Jean-Michel Lecerf, Auteur ; Philippe Legrand, Auteur . - 2015 . - p. 158-164.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)
Descripteurs : [Motbis] aliment
[Motbis] nutriment
[Motbis] produit laitierTags : Matrice Biodisponibilité Céréales complètes Résumé : Leffet matrice correspond à la différence entre les effets de lingestion dune somme de nutriments et celle dun aliment. Il traduit le fait quau-delà des nutriments, il existe des composés non nutritifs, des structures physico-chimiques, des interactions, une biodisponibilité variable qui rendent compte des effets spécifiques des aliments, surtout lorsquils sont complets, entiers ou non raffinés. De nombreux exemples, concernant notamment les céréales complètes et les produits laitiers entiers, permettent dillustrer ce concept de matrice, reflet majeur de la notion de complexité en nutrition. On comprend ainsi pourquoi les apports nutritionnels conseillés ne peuvent résumer les recommandations alimentaires. Cest aussi une voie nouvelle de recherche en nutrition : elle incite à toujours plus de modestie et de prudence pour les scientifiques. Elle justifie totalement limportance de la variété pour le consommateur et de la prise en compte des process pour le professionnel de laliment. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Le riz, cette céréale méconnue / Sylvie Chartron in Cahiers de nutrition et de diététique, 3 volume 50 (juin 2015)
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[article]
Titre : Le riz, cette céréale méconnue Titre original : The rice, this unrecognized cereal Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Chartron, Auteur ; Walter De Man, Auteur Année : 2015 Article : p. 165-173
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)Descripteurs : [Motbis] alimentation
[Motbis] riz
[Motbis] rizicultureTags : Intérêt nutritionnel Résumé : Lhistoire du riz nous emmène sur tous les continents, des plaines immenses du Texas aux montagnes de Malaisie, en passant par la vallée du Gange, Madagascar ou la Camargue. Il y a plus de 7000 ans que les Chinois et les Indiens cultivent le riz. De cette plante, qui pousse les pieds dans leau et la tête au soleil, nous ne mangeons que lamande du grain. Si ce précieux aliment a beaucoup voyagé, sa culture na pas beaucoup changé. Par contre, les produits sur le marché ont évolué, sa consommation est inégale dun pays à lautre. Le riz raffiné et non étuvé est de loin le riz le plus consommé dans le monde. La variété et le procédé de fabrication du riz ont un impact considérable sur ses propriétés nutritionnelles. Cest pourquoi le rôle des différents riz dans une alimentation équilibrée est de plus en plus étudié. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Le riz, cette céréale méconnue = The rice, this unrecognized cereal [texte imprimé] / Sylvie Chartron, Auteur ; Walter De Man, Auteur . - 2015 . - p. 165-173.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)
Descripteurs : [Motbis] alimentation
[Motbis] riz
[Motbis] rizicultureTags : Intérêt nutritionnel Résumé : Lhistoire du riz nous emmène sur tous les continents, des plaines immenses du Texas aux montagnes de Malaisie, en passant par la vallée du Gange, Madagascar ou la Camargue. Il y a plus de 7000 ans que les Chinois et les Indiens cultivent le riz. De cette plante, qui pousse les pieds dans leau et la tête au soleil, nous ne mangeons que lamande du grain. Si ce précieux aliment a beaucoup voyagé, sa culture na pas beaucoup changé. Par contre, les produits sur le marché ont évolué, sa consommation est inégale dun pays à lautre. Le riz raffiné et non étuvé est de loin le riz le plus consommé dans le monde. La variété et le procédé de fabrication du riz ont un impact considérable sur ses propriétés nutritionnelles. Cest pourquoi le rôle des différents riz dans une alimentation équilibrée est de plus en plus étudié. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com