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Exemplaires (2)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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CAHIERS DE NUTRITION | DIETETIQUE | CDI | 033241 | Exclu du prêt |
CAHIERS DE NUTRITION | DIETETIQUE | CDI | 033234 | Exclu du prêt |
Dépouillements


Yaourt et santé : revue des données récentes in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Yaourt et santé : revue des données récentes Titre original : Yogurt and health: overview of recent data Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : P. S48-S57
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] diabète
[Motbis] hypertension
[Motbis] obésité
[Motbis] produit laitier
[Motbis] yaourtTags : Maladies cardiométaboliques Résumé : Le nombre de travaux de recherche sur le yaourt et la santé a augmenté de manière exponentielle durant la dernière décennie. Un intérêt particulier a été porté sur le rôle de ce produit laitier fermenté dans la prévention des maladies chroniques liées à des habitudes de vie peu favorables pour la santé, et ce principalement dans des études d'observations. De nombreuses questions se posent aujourd'hui sur les propriétés du yaourt et notamment sur son rôle spécifique au sein de la catégorie des produits laitiers. En effet, de nombreuses méta-analyses d'études de cohortes prospectives suggèrent une association entre la consommation de yaourt et une réduction du risque de développer un diabète de type 2 (DT2). De la même manière, de plus en plus d'études montrent une relation avec un moindre gain de poids. Dans la majorité des études observationnelles, on retrouve une association neutre ou favorable entre la consommation de yaourt et la prévalence de l'hypertension, des maladies cardiovasculaires (MCV) et du syndrome métabolique. Bien qu'un lien de causalité entre la consommation de yaourt et la réduction du risque de maladies cardiométaboliques doive être confirmé par des études d'intervention randomisées et contrôlées, il n'en demeure pas moins que la majorité des résultats des études épidémiologiques sont en faveur d'une consommation régulière de yaourt au sein d'une alimentation variée et équilibrée, contribuant ainsi à réduire le risque de développer ces maladies chroniques. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Yaourt et santé : revue des données récentes = Yogurt and health: overview of recent data [texte imprimé] . - 2017 . - P. S48-S57.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] diabète
[Motbis] hypertension
[Motbis] obésité
[Motbis] produit laitier
[Motbis] yaourtTags : Maladies cardiométaboliques Résumé : Le nombre de travaux de recherche sur le yaourt et la santé a augmenté de manière exponentielle durant la dernière décennie. Un intérêt particulier a été porté sur le rôle de ce produit laitier fermenté dans la prévention des maladies chroniques liées à des habitudes de vie peu favorables pour la santé, et ce principalement dans des études d'observations. De nombreuses questions se posent aujourd'hui sur les propriétés du yaourt et notamment sur son rôle spécifique au sein de la catégorie des produits laitiers. En effet, de nombreuses méta-analyses d'études de cohortes prospectives suggèrent une association entre la consommation de yaourt et une réduction du risque de développer un diabète de type 2 (DT2). De la même manière, de plus en plus d'études montrent une relation avec un moindre gain de poids. Dans la majorité des études observationnelles, on retrouve une association neutre ou favorable entre la consommation de yaourt et la prévalence de l'hypertension, des maladies cardiovasculaires (MCV) et du syndrome métabolique. Bien qu'un lien de causalité entre la consommation de yaourt et la réduction du risque de maladies cardiométaboliques doive être confirmé par des études d'intervention randomisées et contrôlées, il n'en demeure pas moins que la majorité des résultats des études épidémiologiques sont en faveur d'une consommation régulière de yaourt au sein d'une alimentation variée et équilibrée, contribuant ainsi à réduire le risque de développer ces maladies chroniques. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Lien entre les probiotiques et le microbiote : vision du clinicien in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Lien entre les probiotiques et le microbiote : vision du clinicien Titre original : Link between probiotics and microbiota: perspective from a clinician Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. S5-S12
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] maladie
[Motbis] micro-organismeTags : Micro-bioteDysbioseProbiotiquesPathologies Résumé : Un micro-biote est lensemble des micro-organismes (bactéries, levures, champignons, virus) vivant dans un environnement spécifique. Il existe ainsi de nombreux micro-biotes comme un micro-biote du sol, un micro-biote de locéan, etc.
Il en existe aussi de nombreux associés au corps humain : micro-biote cutané, micro-biote vaginal et, le plus étudié actuellement, le micro-biote intestinal, appelé auparavant « flore intestinale ». La vision dun clinicien doit intégrer le fait que la physiologie et la santé résultent des relations symbiotiques existant entre les Hommes et leurs micro-biotes. La santé des Hommes, en considérant quils sont des écosystèmes, est lexpression dune bonne homéostasie entre ces micro-biotes et les cellules humaines.
Fort de ce constat, il apparaît intéressant de chercher à influer sur le micro-biote. Une approche possible est lutilisation de produits (aliments ou compléments) probiotiques et/ou prébiotiques. Les premiers sont des micro-organismes qui, en quantités suffisantes, apportent un bénéfice sur la santé de lhôte qui les ingère. Les prébiotiques sont des substrats qui facilitent le développement de micro-organismes favorables à la santé. Lobjectif de cet article est de faire un bilan des connaissances actuelles sur micro-biote et probiotique et leur applicabilité en pratique médicale.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Lien entre les probiotiques et le microbiote : vision du clinicien = Link between probiotics and microbiota: perspective from a clinician [texte imprimé] . - 2017 . - p. S5-S12.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] maladie
[Motbis] micro-organismeTags : Micro-bioteDysbioseProbiotiquesPathologies Résumé : Un micro-biote est lensemble des micro-organismes (bactéries, levures, champignons, virus) vivant dans un environnement spécifique. Il existe ainsi de nombreux micro-biotes comme un micro-biote du sol, un micro-biote de locéan, etc.
Il en existe aussi de nombreux associés au corps humain : micro-biote cutané, micro-biote vaginal et, le plus étudié actuellement, le micro-biote intestinal, appelé auparavant « flore intestinale ». La vision dun clinicien doit intégrer le fait que la physiologie et la santé résultent des relations symbiotiques existant entre les Hommes et leurs micro-biotes. La santé des Hommes, en considérant quils sont des écosystèmes, est lexpression dune bonne homéostasie entre ces micro-biotes et les cellules humaines.
Fort de ce constat, il apparaît intéressant de chercher à influer sur le micro-biote. Une approche possible est lutilisation de produits (aliments ou compléments) probiotiques et/ou prébiotiques. Les premiers sont des micro-organismes qui, en quantités suffisantes, apportent un bénéfice sur la santé de lhôte qui les ingère. Les prébiotiques sont des substrats qui facilitent le développement de micro-organismes favorables à la santé. Lobjectif de cet article est de faire un bilan des connaissances actuelles sur micro-biote et probiotique et leur applicabilité en pratique médicale.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Lintolérance au lactose / Philippe Marteau in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Lintolérance au lactose Titre original : Lactose intolerance Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Marteau, Auteur Année : 2017 Article : p. S13-S18
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] digestion
[Motbis] produit laitierTags : Intolérance au lactose Maldigestion Intestin irritable Résumé : Beaucoup dadultes pensent être « intolérants » au lait et au lactose (principal sucre du lait). Ils consomment alors moins de produits laitiers, ce qui conduit à un apport moindre en calcium, sexposant ainsi à un risque accru de désordres osseux, notamment dostéoporose. Le but de cette revue est de définir cette situation, den expliquer les mécanismes et den décrire la prise en charge diététique. Beaucoup de sujets se pensant intolérants au lactose sont dans lerreur, comme lont montré les travaux réalisés en double aveugle, tout particulièrement pour des doses inférieures ou égales à 7 g. Le syndrome de lintestin irritable participe pour beaucoup à ces erreurs de diagnostic par excès. Le maintien du lactose dans lalimentation est possible à condition de suivre des conseils diététiques simples chez la majorité des sujets intolérants. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Lintolérance au lactose = Lactose intolerance [texte imprimé] / Philippe Marteau, Auteur . - 2017 . - p. S13-S18.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] digestion
[Motbis] produit laitierTags : Intolérance au lactose Maldigestion Intestin irritable Résumé : Beaucoup dadultes pensent être « intolérants » au lait et au lactose (principal sucre du lait). Ils consomment alors moins de produits laitiers, ce qui conduit à un apport moindre en calcium, sexposant ainsi à un risque accru de désordres osseux, notamment dostéoporose. Le but de cette revue est de définir cette situation, den expliquer les mécanismes et den décrire la prise en charge diététique. Beaucoup de sujets se pensant intolérants au lactose sont dans lerreur, comme lont montré les travaux réalisés en double aveugle, tout particulièrement pour des doses inférieures ou égales à 7 g. Le syndrome de lintestin irritable participe pour beaucoup à ces erreurs de diagnostic par excès. Le maintien du lactose dans lalimentation est possible à condition de suivre des conseils diététiques simples chez la majorité des sujets intolérants. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Histoire de lutilisation des laitages et de la persistance du gène de la lactase in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Histoire de lutilisation des laitages et de la persistance du gène de la lactase Titre original : Dairying history and the evolution of lactase persistence Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. S19-S24
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] fromage
[Motbis] toléranceTags : Néolithique Résidus lipidiques Exploitation laitière Lactase Résumé : Ce chapitre présente des données archéologiques et biologiques permettant de retracer lhistoire de lutilisation des laitages et lévolution de la persistance de lenzyme lactase, responsable de la digestion du lactose, dans les populations européennes. Nous faisons état de recherches archéologique, anthropologique et de génétique évolutive, expliquant les méthodes didentification de résidus laitiers dans des poteries archéologiques ainsi que lévolution de la persistance de la lactase chez certaines populations humaines. Ces observations montrent que le lait des animaux domestiques était exploité dès les débuts de la domestication au Néolithique, tandis que les échantillons dacide désoxyribonucléique (ADN) ancien humain provenant de ces mêmes périodes suggèrent que ces populations européennes étaient majoritairement intolérantes au lactose. Ceci contraste avec la distribution moderne de la persistance de la lactase, la majorité des populations européennes étant tolérante au lactose. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Histoire de lutilisation des laitages et de la persistance du gène de la lactase = Dairying history and the evolution of lactase persistence [texte imprimé] . - 2017 . - p. S19-S24.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] fromage
[Motbis] toléranceTags : Néolithique Résidus lipidiques Exploitation laitière Lactase Résumé : Ce chapitre présente des données archéologiques et biologiques permettant de retracer lhistoire de lutilisation des laitages et lévolution de la persistance de lenzyme lactase, responsable de la digestion du lactose, dans les populations européennes. Nous faisons état de recherches archéologique, anthropologique et de génétique évolutive, expliquant les méthodes didentification de résidus laitiers dans des poteries archéologiques ainsi que lévolution de la persistance de la lactase chez certaines populations humaines. Ces observations montrent que le lait des animaux domestiques était exploité dès les débuts de la domestication au Néolithique, tandis que les échantillons dacide désoxyribonucléique (ADN) ancien humain provenant de ces mêmes périodes suggèrent que ces populations européennes étaient majoritairement intolérantes au lactose. Ceci contraste avec la distribution moderne de la persistance de la lactase, la majorité des populations européennes étant tolérante au lactose. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Les produits laitiers en France : évolution du marché et place dans la diète in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Les produits laitiers en France : évolution du marché et place dans la diète Titre original : Dairy products in France: market evolution and role in the diet Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. S24-S33
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] produit laitier
[Motbis] yaourtTags : Profil nutritionnel Consommation Résumé : Les produits laitiers ont une place importante dans lalimentation des Français : ils sont consommés chaque semaine sous forme de fromage, lait ou yaourt par la quasitotalité de la population. Lanalyse des données de marché et de consommation issues de carnets alimentaires montre que la vente et la consommation de produits laitiers diminuent depuis quelques années à tous les âges, et notamment chez les enfants. Or les données à notre disposition (apports nutritionnels conseillés, contribution dans la diète ) montrent quen France la couverture des besoins en calcium de la population est difficile sans la consommation de ces aliments. Lobjectif de cet article est de rassembler des données factuelles récentes sur la consommation et la qualité nutritionnelle des produits laitiers en détaillant plus particulièrement les yaourts et les autres produits laitiers frais nutritionnellement proches. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Les produits laitiers en France : évolution du marché et place dans la diète = Dairy products in France: market evolution and role in the diet [texte imprimé] . - 2017 . - p. S24-S33.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] produit laitier
[Motbis] yaourtTags : Profil nutritionnel Consommation Résumé : Les produits laitiers ont une place importante dans lalimentation des Français : ils sont consommés chaque semaine sous forme de fromage, lait ou yaourt par la quasitotalité de la population. Lanalyse des données de marché et de consommation issues de carnets alimentaires montre que la vente et la consommation de produits laitiers diminuent depuis quelques années à tous les âges, et notamment chez les enfants. Or les données à notre disposition (apports nutritionnels conseillés, contribution dans la diète ) montrent quen France la couverture des besoins en calcium de la population est difficile sans la consommation de ces aliments. Lobjectif de cet article est de rassembler des données factuelles récentes sur la consommation et la qualité nutritionnelle des produits laitiers en détaillant plus particulièrement les yaourts et les autres produits laitiers frais nutritionnellement proches. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Le yaourt, un marqueur « universel » de la qualité de la diète ? in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Le yaourt, un marqueur « universel » de la qualité de la diète ? Titre original : Is yogurt a universal marker of diet quality? Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. S35-S47
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] comportement alimentaire
[Motbis] produit laitier
[Motbis] yaourtTags : Apports nutritionnels Suivi des recommandations ANC Enfants Adultes Résumé : Lobjectif de ce travail est (i) de décrire le profil alimentaire et nutritionnel des consommateurs de yaourt en France selon leur niveau de consommation et (ii) de comparer ces données aux travaux similaires publiés sur les consommateurs de yaourt de par le monde.
Ainsi, à partir de lenquête Comportements et consommations alimentaires en France (CCAF) de 2010, trois groupes denfants (3-17 ans, 1 171 sujets) et quatre groupes dadultes (25-64 ans, 986 sujets) ont été étudiés. Chez les enfants et les adultes, les grands consommateurs de yaourt (> 6 portions par semaine) ont un profil alimentaire plus satisfaisant que les non-consommateurs ou petits consommateurs avec plus de fruits, légumes, soupes, produits laitiers. Chez les enfants grands consommateurs, on observe également une moindre consommation de produits sucrés et de matières grasses, alors que chez les adultes, on observe une plus grande consommation de poisson et une moindre de plats préparés et boissons alcoolisées. De la même manière, les apports nutritionnels et les taux dadéquations aux critères du Programme national nutrition santé (PNNS) saméliorent avec le niveau de consommation de yaourt.
Il semblerait donc que le yaourt soit un marqueur dune bonne alimentation en France, ce qui confirme les données déjà publiées dans de nombreux pays présentant pourtant des typologies de marché et de consommation très différentes. Le yaourt, marqueur dune bonne alimentation, pourrait être une caractéristique « universelle ».Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Le yaourt, un marqueur « universel » de la qualité de la diète ? = Is yogurt a universal marker of diet quality? [texte imprimé] . - 2017 . - p. S35-S47.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] comportement alimentaire
[Motbis] produit laitier
[Motbis] yaourtTags : Apports nutritionnels Suivi des recommandations ANC Enfants Adultes Résumé : Lobjectif de ce travail est (i) de décrire le profil alimentaire et nutritionnel des consommateurs de yaourt en France selon leur niveau de consommation et (ii) de comparer ces données aux travaux similaires publiés sur les consommateurs de yaourt de par le monde.
Ainsi, à partir de lenquête Comportements et consommations alimentaires en France (CCAF) de 2010, trois groupes denfants (3-17 ans, 1 171 sujets) et quatre groupes dadultes (25-64 ans, 986 sujets) ont été étudiés. Chez les enfants et les adultes, les grands consommateurs de yaourt (> 6 portions par semaine) ont un profil alimentaire plus satisfaisant que les non-consommateurs ou petits consommateurs avec plus de fruits, légumes, soupes, produits laitiers. Chez les enfants grands consommateurs, on observe également une moindre consommation de produits sucrés et de matières grasses, alors que chez les adultes, on observe une plus grande consommation de poisson et une moindre de plats préparés et boissons alcoolisées. De la même manière, les apports nutritionnels et les taux dadéquations aux critères du Programme national nutrition santé (PNNS) saméliorent avec le niveau de consommation de yaourt.
Il semblerait donc que le yaourt soit un marqueur dune bonne alimentation en France, ce qui confirme les données déjà publiées dans de nombreux pays présentant pourtant des typologies de marché et de consommation très différentes. Le yaourt, marqueur dune bonne alimentation, pourrait être une caractéristique « universelle ».Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Apports en sucres et principaux contributeurs dans la population française in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Apports en sucres et principaux contributeurs dans la population française Titre original : Sugars intake and main contributors in the French population Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. S58-S65
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] France
[Motbis] hygiène alimentaire
[Motbis] sucreTags : Sucres ajoutés Sucres libres Contribution Enfants Adultes Résumé : La consommation de sucres par la population française (enfants et adultes) a été étudiée à partir des données de lenquête représentative de lÉtude individuelle nationale des consommations alimentaires 2 (INCA2), retraitées de façon à évaluer les apports en sucres ajoutés et libres. Chez les adultes, les sucres totaux et libres représentent respectivement 16,4 et 9,5% de lapport énergétique. Chez les enfants et les adolescents, les sucres totaux apportent plus de 19% de lénergie consommée et les sucres libres plus de 13%, alors que la recommandation de lOrganisation mondiale de la santé (OMS) pour ces derniers est de ne pas dépasser 10%. Le niveau socio-économique napparaît associé à la consommation de sucres que chez les enfants, avec une plus forte consommation de sucres totaux, mais pas de sucres libres, dans les catégories de population les plus favorisées. Les produits sucrés (confiserie, biscuits, pâtisseries, etc.) et les boissons sont les principaux contributeurs aux apports en sucres totaux et libres (environ 50 et 70% respectivement). Les fruits et les produits laitiers contribuent plus aux apports en sucres totaux (selon les âges, 12 à 23% pour les fruits et légumes et 12 à 22% pour les produits laitiers) quaux apports en sucres libres (2 à 5% pour les fruits et légumes et 6 à 12% pour les produits laitiers). Les conclusions de cette analyse, qui devra être renouvelée sur des données plus récentes, pourraient être utilisées pour choisir les mesures de santé publique les mieux adaptées pour réduire les apports en sucres libres, notamment chez les enfants. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Apports en sucres et principaux contributeurs dans la population française = Sugars intake and main contributors in the French population [texte imprimé] . - 2017 . - p. S58-S65.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] France
[Motbis] hygiène alimentaire
[Motbis] sucreTags : Sucres ajoutés Sucres libres Contribution Enfants Adultes Résumé : La consommation de sucres par la population française (enfants et adultes) a été étudiée à partir des données de lenquête représentative de lÉtude individuelle nationale des consommations alimentaires 2 (INCA2), retraitées de façon à évaluer les apports en sucres ajoutés et libres. Chez les adultes, les sucres totaux et libres représentent respectivement 16,4 et 9,5% de lapport énergétique. Chez les enfants et les adolescents, les sucres totaux apportent plus de 19% de lénergie consommée et les sucres libres plus de 13%, alors que la recommandation de lOrganisation mondiale de la santé (OMS) pour ces derniers est de ne pas dépasser 10%. Le niveau socio-économique napparaît associé à la consommation de sucres que chez les enfants, avec une plus forte consommation de sucres totaux, mais pas de sucres libres, dans les catégories de population les plus favorisées. Les produits sucrés (confiserie, biscuits, pâtisseries, etc.) et les boissons sont les principaux contributeurs aux apports en sucres totaux et libres (environ 50 et 70% respectivement). Les fruits et les produits laitiers contribuent plus aux apports en sucres totaux (selon les âges, 12 à 23% pour les fruits et légumes et 12 à 22% pour les produits laitiers) quaux apports en sucres libres (2 à 5% pour les fruits et légumes et 6 à 12% pour les produits laitiers). Les conclusions de cette analyse, qui devra être renouvelée sur des données plus récentes, pourraient être utilisées pour choisir les mesures de santé publique les mieux adaptées pour réduire les apports en sucres libres, notamment chez les enfants. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Enfants et adultes forts consommateurs de sucres libres en France : quels changements alimentaires pour respecter les recommandations nutritionnelles ? in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Enfants et adultes forts consommateurs de sucres libres en France : quels changements alimentaires pour respecter les recommandations nutritionnelles ? Titre original : Characteristics of French children and adults with excessive free sugars intakes. Which dietary changes are needed to meet nutritional recommendations? Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. S66-S79
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] France
[Motbis] hygiène alimentaire
[Motbis] sucreTags : Recommandations nutritionnelles Habitudes alimentaires Snacking Résumé : LOrganisation mondiale de la santé (OMS) recommande une consommation de sucres libres (SL) inférieure à 10% de lapport énergétique total chez les enfants et les adultes. Lobjectif de cette étude était de décrire les caractéristiques et la diète des consommateurs dépassant cette recommandation (appelés ici « forts consommateurs ») en France et de modéliser les changements alimentaires nécessaires pour atteindre lensemble des recommandations nutritionnelles.
Les apports nutritionnels de 1 380 enfants et 1 719 adultes ont été estimés à partir de létude individuelle et nationale des consommations alimentaires (INCA2) (2006-2007) et de la table de composition du Centre dinformation sur la qualité des aliments (CIQUAL) 2013 complétée des teneurs en SL. La population a été séparée en quatre classes dâge (3-6 ans, 7-11 ans, 12-17 ans et les adultes) puis en deux sous-populations : SL-Compliants, pour les individus respectant la recommandation en SL (apport inférieur ou égal à 10% de lapport énergétique total), et SL-Excès, pour ceux ne la respectant pas. Dans la sous-population SL-Excès, pour chaque diète individuelle observée, une nouvelle diète isocalorique optimisée définie comme respectant un ensemble de 33 recommandations nutritionnelles (incluant la recommandation sur les SL), tout en restant le plus proche possible de la diète observée a été modélisée par programmation linéaire. Quand aucune solution mathématique nétait possible, la diète était considérée comme non optimisable.
Le pourcentage dindividus SL-Excès décroît avec lâge : 92, 86, 75, et 41% chez les 3-6 ans, 7-11 ans, 12-17 ans et chez les adultes, respectivement. Pour tous les groupes dâge, les SL-Excès consomment plus de SL pendant les repas principaux mais surtout hors repas. Les diètes observées des SL-Excès nétaient pas optimisables pour 40, 9, 11 et 0,1% chez les 3-6 ans, 7-11 ans, 12-17 ans et chez les adultes, respectivement. Pour les autres, loptimisation conduit pour toutes les tranches dâge à diminuer les produits sucrés, les boissons sucrées et les jus de fruits, et à augmenter les quantités deau, de fruits et légumes, féculents, et en plus pour les 7-17 ans à augmenter les produits laitiers (lait ou yaourt). Loptimisation diminue les SL (de 26 à 30 g/j, selon la classe dâge), via une moindre contribution des produits sucrés (de 14,3 à 21,3 g de SL/j) et des boissons sucrées et jus de fruits (de 6,7 à 13,4 g de SL/j).
En conclusion, une forte majorité des enfants français a des apports excessifs en SL. Il est généralement possible doptimiser la diète des forts consommateurs de SL en séloignant le moins possible de la diète observée. Néanmoins, compte tenu des contraintes imposées dans le modèle, une exploration complémentaire est nécessaire pour comprendre les raisons pour lesquelles il est impossible datteindre une diète nutritionnellement adéquate pour 40% des enfants de 3-6 ans ayant des apports excessifs en SL.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Enfants et adultes forts consommateurs de sucres libres en France : quels changements alimentaires pour respecter les recommandations nutritionnelles ? = Characteristics of French children and adults with excessive free sugars intakes. Which dietary changes are needed to meet nutritional recommendations? [texte imprimé] . - 2017 . - p. S66-S79.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] France
[Motbis] hygiène alimentaire
[Motbis] sucreTags : Recommandations nutritionnelles Habitudes alimentaires Snacking Résumé : LOrganisation mondiale de la santé (OMS) recommande une consommation de sucres libres (SL) inférieure à 10% de lapport énergétique total chez les enfants et les adultes. Lobjectif de cette étude était de décrire les caractéristiques et la diète des consommateurs dépassant cette recommandation (appelés ici « forts consommateurs ») en France et de modéliser les changements alimentaires nécessaires pour atteindre lensemble des recommandations nutritionnelles.
Les apports nutritionnels de 1 380 enfants et 1 719 adultes ont été estimés à partir de létude individuelle et nationale des consommations alimentaires (INCA2) (2006-2007) et de la table de composition du Centre dinformation sur la qualité des aliments (CIQUAL) 2013 complétée des teneurs en SL. La population a été séparée en quatre classes dâge (3-6 ans, 7-11 ans, 12-17 ans et les adultes) puis en deux sous-populations : SL-Compliants, pour les individus respectant la recommandation en SL (apport inférieur ou égal à 10% de lapport énergétique total), et SL-Excès, pour ceux ne la respectant pas. Dans la sous-population SL-Excès, pour chaque diète individuelle observée, une nouvelle diète isocalorique optimisée définie comme respectant un ensemble de 33 recommandations nutritionnelles (incluant la recommandation sur les SL), tout en restant le plus proche possible de la diète observée a été modélisée par programmation linéaire. Quand aucune solution mathématique nétait possible, la diète était considérée comme non optimisable.
Le pourcentage dindividus SL-Excès décroît avec lâge : 92, 86, 75, et 41% chez les 3-6 ans, 7-11 ans, 12-17 ans et chez les adultes, respectivement. Pour tous les groupes dâge, les SL-Excès consomment plus de SL pendant les repas principaux mais surtout hors repas. Les diètes observées des SL-Excès nétaient pas optimisables pour 40, 9, 11 et 0,1% chez les 3-6 ans, 7-11 ans, 12-17 ans et chez les adultes, respectivement. Pour les autres, loptimisation conduit pour toutes les tranches dâge à diminuer les produits sucrés, les boissons sucrées et les jus de fruits, et à augmenter les quantités deau, de fruits et légumes, féculents, et en plus pour les 7-17 ans à augmenter les produits laitiers (lait ou yaourt). Loptimisation diminue les SL (de 26 à 30 g/j, selon la classe dâge), via une moindre contribution des produits sucrés (de 14,3 à 21,3 g de SL/j) et des boissons sucrées et jus de fruits (de 6,7 à 13,4 g de SL/j).
En conclusion, une forte majorité des enfants français a des apports excessifs en SL. Il est généralement possible doptimiser la diète des forts consommateurs de SL en séloignant le moins possible de la diète observée. Néanmoins, compte tenu des contraintes imposées dans le modèle, une exploration complémentaire est nécessaire pour comprendre les raisons pour lesquelles il est impossible datteindre une diète nutritionnellement adéquate pour 40% des enfants de 3-6 ans ayant des apports excessifs en SL.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com Sucrage des yaourts : diversité des comportements et impact sur les apports en sucres in Cahiers de nutrition et de diététique, HS 1 vol.52 (décembre 2017)
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[article]
Titre : Sucrage des yaourts : diversité des comportements et impact sur les apports en sucres Titre original : Adding sugars to plain yogurts: behavior diversity and impact on sugars intake Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. S80-S86
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)Descripteurs : [Motbis] comportement alimentaire
[Motbis] sucre
[Motbis] yaourtTags : Étude contextualisée Repas Résumé : En France, environ 50% des yaourts nature sont sucrés au moment de leur consommation. Une première étude observationnelle a permis d'identifier la diversité des comportements de sucrage des yaourts (moment d'ajout du sucre, nombre de cuillerées, gestuelle ) dans un contexte réel de consommation d'un repas pris en groupe. Une seconde étude s'est ensuite intéressée à la quantité exacte de sucres ajoutés individuellement par les consommateurs à un yaourt nature dans des conditions de tests contextualisées. Pour cela, 199 adultes ont reçu, à la fin d'un repas, un yaourt nature (125 g) dans lequel ils pouvaient ajouter l'agent sucrant de leur choix (sucre en poudre, miel ou confiture). Les quantités d'agents sucrants ajoutées ont été mesurées indirectement puis exprimées en équivalent « sucres ajoutés ». En moyenne, les participants ont ajouté 13,6 g de sucres à leur yaourt, ce qui est plus élevé que la quantité moyenne contenue dans les yaourts présucrés du commerce (10,2 g de sucres pour 125 g de yaourt). Une quantité plus importante a été ajoutée lorsque les participants ont utilisé de la confiture en comparaison avec le sucre en poudre ou le miel. Les paramètres âge, catégorie socioprofessionnelle (CSP) et indice de masse corporelle (IMC) ont eu une influence significative sur la quantité de sucres ajoutés. Les participants ont été répartis en trois groupes selon la quantité de sucres qu'ils avaient ajoutée, puis leurs usages et habitudes de consommation ont été analysés : « les petits consommateurs de sucre » ont tendance à contrôler notamment leur consommation d'aliments sucrés, « les consommateurs moyens » et « les grands consommateurs » ont cherché une satisfaction immédiate. Les résultats montrent que d'une manière générale les consommateurs sous-estiment de moitié la quantité de sucres ajoutés à leur yaourt. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Sucrage des yaourts : diversité des comportements et impact sur les apports en sucres = Adding sugars to plain yogurts: behavior diversity and impact on sugars intake [texte imprimé] . - 2017 . - p. S80-S86.
in Cahiers de nutrition et de diététique > HS 1 vol.52 (décembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] comportement alimentaire
[Motbis] sucre
[Motbis] yaourtTags : Étude contextualisée Repas Résumé : En France, environ 50% des yaourts nature sont sucrés au moment de leur consommation. Une première étude observationnelle a permis d'identifier la diversité des comportements de sucrage des yaourts (moment d'ajout du sucre, nombre de cuillerées, gestuelle ) dans un contexte réel de consommation d'un repas pris en groupe. Une seconde étude s'est ensuite intéressée à la quantité exacte de sucres ajoutés individuellement par les consommateurs à un yaourt nature dans des conditions de tests contextualisées. Pour cela, 199 adultes ont reçu, à la fin d'un repas, un yaourt nature (125 g) dans lequel ils pouvaient ajouter l'agent sucrant de leur choix (sucre en poudre, miel ou confiture). Les quantités d'agents sucrants ajoutées ont été mesurées indirectement puis exprimées en équivalent « sucres ajoutés ». En moyenne, les participants ont ajouté 13,6 g de sucres à leur yaourt, ce qui est plus élevé que la quantité moyenne contenue dans les yaourts présucrés du commerce (10,2 g de sucres pour 125 g de yaourt). Une quantité plus importante a été ajoutée lorsque les participants ont utilisé de la confiture en comparaison avec le sucre en poudre ou le miel. Les paramètres âge, catégorie socioprofessionnelle (CSP) et indice de masse corporelle (IMC) ont eu une influence significative sur la quantité de sucres ajoutés. Les participants ont été répartis en trois groupes selon la quantité de sucres qu'ils avaient ajoutée, puis leurs usages et habitudes de consommation ont été analysés : « les petits consommateurs de sucre » ont tendance à contrôler notamment leur consommation d'aliments sucrés, « les consommateurs moyens » et « les grands consommateurs » ont cherché une satisfaction immédiate. Les résultats montrent que d'une manière générale les consommateurs sous-estiment de moitié la quantité de sucres ajoutés à leur yaourt. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com