Phosphates : métabolisme, nutrition et éducation dans la maladie rénale chronique / Stanislas Trolonge in Information diététique, 4 (octobre 2017)

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inInformation diététique > 4 (octobre 2017) Titre : Phosphates : métabolisme, nutrition et éducation dans la maladie rénale chronique : Dossier : Soin nutritionnel en néphorolgie Type de document : texte imprimé Auteurs : Stanislas Trolonge, Auteur Année : 2017 Article : p. 26-30 Tags : Maladie rénale chronique  Néphrologie  Phosphate  Additifs phosphatés Résumé : À mesure que l'insuffisance rénale (IR) progresse, l'accumulation de phosphates augmente.Dès un stade avancé de la maladie rénale chronique (MRC) jusqu'à l'IR terminale traitée par hémodialyse ou dialyse péritonéale, réduire ses apports en phosphate alimentaire est recommandé, en l'absence même d'hyperphosphatémie. Les sources alimentaires les plus riches en phosphates sont d'origine animale, celles-là même qui apportent des protéines de qualité indispensables pour prévenir une dénutrition latente chez ces patients à haut risque.. De nouvelles données scientifique sur l'absorption réelles des phosphates apportés par les aliments d'origine animale nous obligent à adapter notre stratégie diététique. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique [article] Phosphates : métabolisme, nutrition et éducation dans la maladie rénale chronique : Dossier : Soin nutritionnel en néphorolgie [texte imprimé] / Stanislas Trolonge, Auteur . - 2017 . - p. 26-30. in Information diététique > 4 (octobre 2017) Tags : Maladie rénale chronique  Néphrologie  Phosphate  Additifs phosphatés Résumé : À mesure que l'insuffisance rénale (IR) progresse, l'accumulation de phosphates augmente.Dès un stade avancé de la maladie rénale chronique (MRC) jusqu'à l'IR terminale traitée par hémodialyse ou dialyse péritonéale, réduire ses apports en phosphate alimentaire est recommandé, en l'absence même d'hyperphosphatémie. Les sources alimentaires les plus riches en phosphates sont d'origine animale, celles-là même qui apportent des protéines de qualité indispensables pour prévenir une dénutrition latente chez ces patients à haut risque.. De nouvelles données scientifique sur l'absorption réelles des phosphates apportés par les aliments d'origine animale nous obligent à adapter notre stratégie diététique. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique