|
Réservation
Réserver ce documentExemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
CAHIERS DE NUTRITION ET DE DIETETIQUE | DIETETIQUE | CDI | 023499 | Disponible |
Dépouillements


Quelle éducation thérapeutique chez le sujet en surcharge pondérale ? / Eric Bertin in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 42 (février 2007)
[article]
Titre : Quelle éducation thérapeutique chez le sujet en surcharge pondérale ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Bertin, Auteur Année : 2007 Article : p. 46 à 51
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)Descripteurs : [Motbis] obésité
[Motbis] thérapeutiqueRésumé : En labsence de traitement médicamenteux efficace, la prise en charge de lobésité se résume à des mesures « hygiéno-diététiques » qui, dans la conscience collective des soignants, sont peu productives et sources dennui voire de rejet eu égard au sentiment déchec quelles peuvent générer chez eux. Pendant très longtemps, et cest encore malheureusement encore le courant dominant actuel, la restriction alimentaire a été le principal outil thérapeutique pour réduire la surcharge pondérale.
Nature du document : documentaire [article] Quelle éducation thérapeutique chez le sujet en surcharge pondérale ? [texte imprimé] / Eric Bertin, Auteur . - 2007 . - p. 46 à 51.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)
Descripteurs : [Motbis] obésité
[Motbis] thérapeutiqueRésumé : En labsence de traitement médicamenteux efficace, la prise en charge de lobésité se résume à des mesures « hygiéno-diététiques » qui, dans la conscience collective des soignants, sont peu productives et sources dennui voire de rejet eu égard au sentiment déchec quelles peuvent générer chez eux. Pendant très longtemps, et cest encore malheureusement encore le courant dominant actuel, la restriction alimentaire a été le principal outil thérapeutique pour réduire la surcharge pondérale.
Nature du document : documentaire Le diabète de type 2 des enfants et des adolescents / Fernand Lamisse in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 42 (février 2007)
[article]
Titre : Le diabète de type 2 des enfants et des adolescents Type de document : texte imprimé Auteurs : Fernand Lamisse, Auteur Année : 2007 Article : p. 25 à 30
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)Descripteurs : [Motbis] diabète
[Motbis] enfance
[Motbis] glycémie
[Motbis] insuline
[Motbis] jeunesseRésumé : Le diabète de type 2 a longtemps été considéré comme une maladie des gens dâge mûr. Sil est vrai que sa prévalence est toujours prédominante chez ladulte, lâge de sa survenue diminue et le diabète de type 2 est maintenant rapporté chez ladolescent et lenfant, partout dans le monde, et spécialement dans certains groupes ethniques. Lincidence du diabète de type 2 augmente chez le sujet jeune parallèlement à celle du surpoids et de lobésité. La physiopathologie du diabète de type 2, comme chez ladulte, est multifactorielle et inclut des facteurs génétiques et de lenvironnement. Linsulinorésistance, étroitement associée à lobésité est probablement une anomalie précoce dans le développement du diabète de type 2 chez les jeunes. Elle est initialement compensée par une sécrétion accrue dinsuline mais, avec le temps, la fonction sécrétoire des cellules diminue. Le diabète de type 2 du sujet jeune est précocement associé à des lésions microvasculaires et peut également conduire à des complications macrovasculaires. Le traitement inclut des modifications du mode de vie, et il est dune importance capitale dinclure la famille dans le contrôle optimum des glycémies. La metformine est disponible dans nos pays et peut être utilisée pour le traitement chez lenfant, mais son efficacité reste incertaine. Aucun autre agent oral hypoglycémiant na été approuvé pour traiter le diabète de type 2 dans une population pédiatrique même si les sulfonylurées, les glinides et la rosiglitazone ont été utilisées dans certaines études. Linsuline reste le traitement le plus employé. Lhypertension et lhyperlipidémie nécessitent également une intervention thérapeutique efficace.
La prévention est la stratégie prioritaire pour le futur. Elle doit être axée sur des changements de lenvironnement et du mode de vie des enfants et des adolescents, en particulier, une participation plus étroite des familles, du milieu scolaire, des industries agroalimentaires et des gouvernements.
Nature du document : documentaire [article] Le diabète de type 2 des enfants et des adolescents [texte imprimé] / Fernand Lamisse, Auteur . - 2007 . - p. 25 à 30.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)
Descripteurs : [Motbis] diabète
[Motbis] enfance
[Motbis] glycémie
[Motbis] insuline
[Motbis] jeunesseRésumé : Le diabète de type 2 a longtemps été considéré comme une maladie des gens dâge mûr. Sil est vrai que sa prévalence est toujours prédominante chez ladulte, lâge de sa survenue diminue et le diabète de type 2 est maintenant rapporté chez ladolescent et lenfant, partout dans le monde, et spécialement dans certains groupes ethniques. Lincidence du diabète de type 2 augmente chez le sujet jeune parallèlement à celle du surpoids et de lobésité. La physiopathologie du diabète de type 2, comme chez ladulte, est multifactorielle et inclut des facteurs génétiques et de lenvironnement. Linsulinorésistance, étroitement associée à lobésité est probablement une anomalie précoce dans le développement du diabète de type 2 chez les jeunes. Elle est initialement compensée par une sécrétion accrue dinsuline mais, avec le temps, la fonction sécrétoire des cellules diminue. Le diabète de type 2 du sujet jeune est précocement associé à des lésions microvasculaires et peut également conduire à des complications macrovasculaires. Le traitement inclut des modifications du mode de vie, et il est dune importance capitale dinclure la famille dans le contrôle optimum des glycémies. La metformine est disponible dans nos pays et peut être utilisée pour le traitement chez lenfant, mais son efficacité reste incertaine. Aucun autre agent oral hypoglycémiant na été approuvé pour traiter le diabète de type 2 dans une population pédiatrique même si les sulfonylurées, les glinides et la rosiglitazone ont été utilisées dans certaines études. Linsuline reste le traitement le plus employé. Lhypertension et lhyperlipidémie nécessitent également une intervention thérapeutique efficace.
La prévention est la stratégie prioritaire pour le futur. Elle doit être axée sur des changements de lenvironnement et du mode de vie des enfants et des adolescents, en particulier, une participation plus étroite des familles, du milieu scolaire, des industries agroalimentaires et des gouvernements.
Nature du document : documentaire Insuline et prise de poids / Amal Yazigi in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 42 (février 2007)
[article]
Titre : Insuline et prise de poids Type de document : texte imprimé Auteurs : Amal Yazigi, Auteur Année : 2007 Article : p.31 à 36
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)Descripteurs : [Motbis] diabète
[Motbis] glycémie
[Motbis] insulineTags : prise de poids Résumé : Linsulinothérapie est un élément clef de la prise en charge des populations diabétiques. La prise de poids lors de linitiation de linsulinothérapie peut être une barrière à linstauration ou à lintensification dune insulinothérapie. En effet, la prise de poids est inéluctable (en moyenne 2,5 kg pour le type 1 et 6 kg pour le type 2) mais limitée dans le temps (prise de poids maximale la première année). Lanalyse des modifications de la composition corporelle a montré que linsuline augmente à la fois la masse grasse et la masse maigre dans ces deux populations permettant de « rattraper » la composition corporelle telle quobservée avant léclosion clinique du diabète.
Lassociation à la metformine permet de réduire les doses dinsuline et de limiter la prise de poids. Le développement récent dun analogue dinsuline basale ayant moins deffets sur les tissus périphériques et ayant une meilleure biodisponibilité hépatique, permet dobtenir un équilibre glycémique au moyen de doses plus faibles dinsuline et dune moindre prise de poids. Ceci devrait permettre dintroduire une insulinothérapie plus précocement au cours de lévolution du diabète de type 2 avec une meilleure compliance au traitement.
Nature du document : documentaire [article] Insuline et prise de poids [texte imprimé] / Amal Yazigi, Auteur . - 2007 . - p.31 à 36.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)
Descripteurs : [Motbis] diabète
[Motbis] glycémie
[Motbis] insulineTags : prise de poids Résumé : Linsulinothérapie est un élément clef de la prise en charge des populations diabétiques. La prise de poids lors de linitiation de linsulinothérapie peut être une barrière à linstauration ou à lintensification dune insulinothérapie. En effet, la prise de poids est inéluctable (en moyenne 2,5 kg pour le type 1 et 6 kg pour le type 2) mais limitée dans le temps (prise de poids maximale la première année). Lanalyse des modifications de la composition corporelle a montré que linsuline augmente à la fois la masse grasse et la masse maigre dans ces deux populations permettant de « rattraper » la composition corporelle telle quobservée avant léclosion clinique du diabète.
Lassociation à la metformine permet de réduire les doses dinsuline et de limiter la prise de poids. Le développement récent dun analogue dinsuline basale ayant moins deffets sur les tissus périphériques et ayant une meilleure biodisponibilité hépatique, permet dobtenir un équilibre glycémique au moyen de doses plus faibles dinsuline et dune moindre prise de poids. Ceci devrait permettre dintroduire une insulinothérapie plus précocement au cours de lévolution du diabète de type 2 avec une meilleure compliance au traitement.
Nature du document : documentaire Aliments premier prix : peut-on les comparer aux aliments de marque ? / Caroline Joly in Cahiers de nutrition et de diététique, 1 volume 42 (février 2007)
[article]
Titre : Aliments premier prix : peut-on les comparer aux aliments de marque ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Joly, Auteur Année : 2007 Article : p. 15 à 24
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)Descripteurs : [Motbis] aliment
[Motbis] besoin nutritionnel
[Motbis] marque commerciale
[Motbis] nutrition
[Motbis] prixTags : premier prix Résumé : De plus en plus de consommateurs ont recours aux aliments bon marché. On ignore cependant sil existe un lien entre la qualité des aliments, nutritionnelle notamment, et leur prix, au sein dune même catégorie de produits. Cétait lobjectif de la présente étude danalyser cette question, à partir des informations (valeurs nutritionnelles et listes dingrédients) relevées sur les étiquettes de 220 aliments, répartis dans 17 catégories. Au sein dune même catégorie (par exemple le cassoulet), les aliments avaient la même dénomination de vente et des conditionnements similaires, mais des marques et des prix différents. Les aliments les moins chers nétaient pas plus riches en énergie, ou en lipides, que leurs équivalents de marque dite « nationale ». En revanche, une association positive, de faible ampleur mais significative, a été observée entre le prix et la teneur en protéines, et entre le prix et un score de qualité des ingrédients spécifiquement élaboré pour ce travail. En moyenne, les produits de marques nationales avaient un score de qualité 1,3 fois supérieur à celui des 1er prix et une densité énergétique équivalente, pour un prix 2,5 fois plus élevé. Ces résultats préliminaires soulignent la nécessité dentreprendre rapidement sur cette question une large étude indépendante, basée sur des dosages et des indicateurs fiables de qualité nutritionnelle.
Nature du document : documentaire [article] Aliments premier prix : peut-on les comparer aux aliments de marque ? [texte imprimé] / Caroline Joly, Auteur . - 2007 . - p. 15 à 24.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 42 (février 2007)
Descripteurs : [Motbis] aliment
[Motbis] besoin nutritionnel
[Motbis] marque commerciale
[Motbis] nutrition
[Motbis] prixTags : premier prix Résumé : De plus en plus de consommateurs ont recours aux aliments bon marché. On ignore cependant sil existe un lien entre la qualité des aliments, nutritionnelle notamment, et leur prix, au sein dune même catégorie de produits. Cétait lobjectif de la présente étude danalyser cette question, à partir des informations (valeurs nutritionnelles et listes dingrédients) relevées sur les étiquettes de 220 aliments, répartis dans 17 catégories. Au sein dune même catégorie (par exemple le cassoulet), les aliments avaient la même dénomination de vente et des conditionnements similaires, mais des marques et des prix différents. Les aliments les moins chers nétaient pas plus riches en énergie, ou en lipides, que leurs équivalents de marque dite « nationale ». En revanche, une association positive, de faible ampleur mais significative, a été observée entre le prix et la teneur en protéines, et entre le prix et un score de qualité des ingrédients spécifiquement élaboré pour ce travail. En moyenne, les produits de marques nationales avaient un score de qualité 1,3 fois supérieur à celui des 1er prix et une densité énergétique équivalente, pour un prix 2,5 fois plus élevé. Ces résultats préliminaires soulignent la nécessité dentreprendre rapidement sur cette question une large étude indépendante, basée sur des dosages et des indicateurs fiables de qualité nutritionnelle.
Nature du document : documentaire