Descripteurs
Documents disponibles dans cette catégorie (4)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheDifficultés rencontrées par les médecins généralistes du département de la Haute-Vienne dans la prise en charge de l’obésité et pistes d’amélioration possibles in Cahiers de nutrition et de diététique, 3 volume 50 (juin 2015)
Titre : Difficultés rencontrées par les médecins généralistes du département de la Haute-Vienne dans la prise en charge de l’obésité et pistes d’amélioration possibles Titre original : Difficulties encountered by general practitioners in the department of Haute-Vienne in the management of obesity and suggestions for improvement Type de document : texte imprimé Année : 2015 Article : p. 142-149
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)Descripteurs : [Motbis] médecine générale
[Motbis] obésitéTags : Difficultés de prise en charge Résumé : En France, au moins 15 % des personnes de plus de 15 ans sont obèses. La prise en charge (PEC) de l’obésité par le médecin généraliste (MG) est fondamentale, mais difficile. On dispose de peu de données concernant le ressenti du MG face à l’obésité. L’enquête avait pour buts de faire le point sur les difficultés rencontrées par les MG, sur leurs propositions d’amélioration, et sur leur opinion globale face à l’obésité.
Un questionnaire anonyme déclaratif était envoyé à 200 MG d’un département échantillonnés par l’Union régional des professionnels de santé. Il relevait des données épidémiologiques concernant les MG, leurs difficultés perçues, leurs propositions d’amélioration et leur ressenti global face à cette pathologie. Les tests statistiques étaient le test du Chi2, le test de Fisher, le test de Student, et l’analyse de variance.
Trente-quatre pour cent des MG (n = 68) répondaient à l’enquête. Un pourcentage de 27,9 % d’entre eux avait une formation en nutrition. Les MG rapportaient 6,5 % d’obèses dans leur patientèle et 18,6 % de surpoids. Ces valeurs n’étaient pas liées à l’âge, au lieu d’exercice ou au niveau de formation des MG. Les femmes MG voyaient moins de patients en surpoids que les hommes (11,6 ± 3,0 vs 19,8 ± 6,9, p = 0,04). Les cinq difficultés de PEC les plus citées étaient liées aux patients : mauvais suivi des conseils d’activité physique (94,1 % des répondants), diététiques (91,1 %), psychologiques (72,0 %), manque de motivation (92,6 %), présence de troubles du comportement alimentaire (83,8 %). Un pourcentage de 58,8 % des MG se sentait inefficaces, 52,9 % pensaient avoir trop peu de temps et 50,0 % trop peu de formation. Vingt-huit pour cent des MG n’étaient pas intéressés par l’obésité. L’insuffisance de formation était positivement liée au sentiment d’inefficacité (p = 0,007), au manque de temps (p = 0,03) au désintérêt pour l’obésité (p = 0,0002). Parmi les suggestions d’amélioration proposées, les MG retenaient en priorité de réaliser une éducation alimentaire familiale (83,8 %) ou scolaire (80,9 %), de mieux prendre en charge l’obésité infantile (83,8 %), d’améliorer la PEC psychologique (76,5 %), de sensibiliser le public aux effets du temps passé devant des écrans (70,5 %), de rembourser la consultation diététique (69,1 %). Un pourcentage de 67,7 % des MG proposait une lutte contre la stigmatisation des obèses, 66,2 % une meilleure formation médicale. La création de réseaux de soins, d’ateliers de groupe, de structures d’activité physique étaient ensuite cités. Cependant, 82,4 % des répondants étaient globalement insatisfaits de leur PEC de l’obésité.
La PEC des patients obèses ou en surpoids est une part importante de l’activité des MG mais les laisse très insatisfaits. Pour les MG, les obstacles rencontrés sont en premier lieu liés aux patients. Néanmoins, l’insuffisance de formation médicale est souvent vécue négativement, avec une répercussion sur l’intérêt et l’efficacité des praticiens. Pour les MG des actions préventives familiales et à l’école sont prioritaires. L’amélioration de la formation médicale, le développement de certains secteurs de soins (psychiatrie, diététique, activité physique) et de réseaux, seraient des pistes à explorer pour le département étudié.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Difficultés rencontrées par les médecins généralistes du département de la Haute-Vienne dans la prise en charge de l’obésité et pistes d’amélioration possibles = Difficulties encountered by general practitioners in the department of Haute-Vienne in the management of obesity and suggestions for improvement [texte imprimé] . - 2015 . - p. 142-149.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 3 volume 50 (juin 2015)
Descripteurs : [Motbis] médecine générale
[Motbis] obésitéTags : Difficultés de prise en charge Résumé : En France, au moins 15 % des personnes de plus de 15 ans sont obèses. La prise en charge (PEC) de l’obésité par le médecin généraliste (MG) est fondamentale, mais difficile. On dispose de peu de données concernant le ressenti du MG face à l’obésité. L’enquête avait pour buts de faire le point sur les difficultés rencontrées par les MG, sur leurs propositions d’amélioration, et sur leur opinion globale face à l’obésité.
Un questionnaire anonyme déclaratif était envoyé à 200 MG d’un département échantillonnés par l’Union régional des professionnels de santé. Il relevait des données épidémiologiques concernant les MG, leurs difficultés perçues, leurs propositions d’amélioration et leur ressenti global face à cette pathologie. Les tests statistiques étaient le test du Chi2, le test de Fisher, le test de Student, et l’analyse de variance.
Trente-quatre pour cent des MG (n = 68) répondaient à l’enquête. Un pourcentage de 27,9 % d’entre eux avait une formation en nutrition. Les MG rapportaient 6,5 % d’obèses dans leur patientèle et 18,6 % de surpoids. Ces valeurs n’étaient pas liées à l’âge, au lieu d’exercice ou au niveau de formation des MG. Les femmes MG voyaient moins de patients en surpoids que les hommes (11,6 ± 3,0 vs 19,8 ± 6,9, p = 0,04). Les cinq difficultés de PEC les plus citées étaient liées aux patients : mauvais suivi des conseils d’activité physique (94,1 % des répondants), diététiques (91,1 %), psychologiques (72,0 %), manque de motivation (92,6 %), présence de troubles du comportement alimentaire (83,8 %). Un pourcentage de 58,8 % des MG se sentait inefficaces, 52,9 % pensaient avoir trop peu de temps et 50,0 % trop peu de formation. Vingt-huit pour cent des MG n’étaient pas intéressés par l’obésité. L’insuffisance de formation était positivement liée au sentiment d’inefficacité (p = 0,007), au manque de temps (p = 0,03) au désintérêt pour l’obésité (p = 0,0002). Parmi les suggestions d’amélioration proposées, les MG retenaient en priorité de réaliser une éducation alimentaire familiale (83,8 %) ou scolaire (80,9 %), de mieux prendre en charge l’obésité infantile (83,8 %), d’améliorer la PEC psychologique (76,5 %), de sensibiliser le public aux effets du temps passé devant des écrans (70,5 %), de rembourser la consultation diététique (69,1 %). Un pourcentage de 67,7 % des MG proposait une lutte contre la stigmatisation des obèses, 66,2 % une meilleure formation médicale. La création de réseaux de soins, d’ateliers de groupe, de structures d’activité physique étaient ensuite cités. Cependant, 82,4 % des répondants étaient globalement insatisfaits de leur PEC de l’obésité.
La PEC des patients obèses ou en surpoids est une part importante de l’activité des MG mais les laisse très insatisfaits. Pour les MG, les obstacles rencontrés sont en premier lieu liés aux patients. Néanmoins, l’insuffisance de formation médicale est souvent vécue négativement, avec une répercussion sur l’intérêt et l’efficacité des praticiens. Pour les MG des actions préventives familiales et à l’école sont prioritaires. L’amélioration de la formation médicale, le développement de certains secteurs de soins (psychiatrie, diététique, activité physique) et de réseaux, seraient des pistes à explorer pour le département étudié.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com
Titre : Intérêt d’outils d’autoformation portant sur l’excès de poids en médecine générale Titre original : Interest of self-training tools about weight excess in general medicine Type de document : texte imprimé Année : 2017 Article : p. 175-180
in Cahiers de nutrition et de diététique > 4 volume 52 (septembre 2017)Descripteurs : [Motbis] formation
[Motbis] médecine générale
[Motbis] obésitéTags : Surpoids Résumé : Les médecins généralistes (MG) sont au centre de la prise en charge (PEC) des patients en excès de poids (EP), mais sont gênés par une insuffisance de formation sur cette thématique. L’objectif de l’étude était d’évaluer l’impact de nouveaux outils d’autoformation (diaporamas et fiches sur 8 thèmes différents) destinés aux MG et portant sur l’EP. À partir d’enquêtes auprès des MG du territoire du Limousin, des outils d’autoformation ont été réalisés et diffusés par Internet et en format papier. Après diffusion, un questionnaire d’impact sur les connaissances et pratiques a été envoyé par la poste aux 1189 MG du Limousin. Deux cent trente-trois questionnaires ont été reçus (19,6 % des envois). Les MG femmes (p = 0,006 vs les MG hommes) et les MG déjà « formés » en nutrition (p = 0,02 vs les MG « non formés ») étaient les plus intéressés par la prise en charge des patients en EP. Seulement 2,7 % des MG ont déclaré que les outils ne leur ont rien apporté. Le thème considéré comme étant le plus pertinent était le parcours de soin. Les MG femmes (p = 0,03) et les MG « non formés » (p = 0,02 à 0,04 selon les critères) étaient particulièrement bénéficiaires. Au total, 71,7 % des MG ont déclaré avoir l’intention de diffuser les fiches auprès de leurs patients. Malgré un taux de réponse modeste, l’enquête suggère que les outils ont intéressé les MG et sont utiles pour la PEC. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Intérêt d’outils d’autoformation portant sur l’excès de poids en médecine générale = Interest of self-training tools about weight excess in general medicine [texte imprimé] . - 2017 . - p. 175-180.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 4 volume 52 (septembre 2017)
Descripteurs : [Motbis] formation
[Motbis] médecine générale
[Motbis] obésitéTags : Surpoids Résumé : Les médecins généralistes (MG) sont au centre de la prise en charge (PEC) des patients en excès de poids (EP), mais sont gênés par une insuffisance de formation sur cette thématique. L’objectif de l’étude était d’évaluer l’impact de nouveaux outils d’autoformation (diaporamas et fiches sur 8 thèmes différents) destinés aux MG et portant sur l’EP. À partir d’enquêtes auprès des MG du territoire du Limousin, des outils d’autoformation ont été réalisés et diffusés par Internet et en format papier. Après diffusion, un questionnaire d’impact sur les connaissances et pratiques a été envoyé par la poste aux 1189 MG du Limousin. Deux cent trente-trois questionnaires ont été reçus (19,6 % des envois). Les MG femmes (p = 0,006 vs les MG hommes) et les MG déjà « formés » en nutrition (p = 0,02 vs les MG « non formés ») étaient les plus intéressés par la prise en charge des patients en EP. Seulement 2,7 % des MG ont déclaré que les outils ne leur ont rien apporté. Le thème considéré comme étant le plus pertinent était le parcours de soin. Les MG femmes (p = 0,03) et les MG « non formés » (p = 0,02 à 0,04 selon les critères) étaient particulièrement bénéficiaires. Au total, 71,7 % des MG ont déclaré avoir l’intention de diffuser les fiches auprès de leurs patients. Malgré un taux de réponse modeste, l’enquête suggère que les outils ont intéressé les MG et sont utiles pour la PEC. Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur Discipline : Diététique En ligne : http://www.sciencedirect.com
Titre : Pratiques de contrôle du poids et place du médecin généraliste dans la gestion pondérale. À propos d’une enquête en Pays de la Loire Titre original : Patients’ expectations regards to the role of their GP in weight follow-up. About a survey in Pays de la Loire Type de document : texte imprimé Année : 2016 Article : p. 26-32
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 51 (février 2016)Descripteurs : [Motbis] médecine générale Tags : Pratique de contrôle du poids Gestion pondérale Résumé : Les Françaises entreprennent souvent des régimes amaigrissants, ce en l’absence de surpoids. Cette étude transversale quantitative consiste en un état des lieux des pratiques d’amaigrissement auprès de sujets majeurs présents en salle d’attente de cabinet de médecine générale. Un autre objectif est d’identifier le rôle attribué au médecin généraliste (MG) dans le suivi pondéral.
Des autoquestionnaires ont été distribués aux volontaires et recueillis du 17 avril au 27 juin 2014, dans la région Pays de la Loire. Ils ont été analysés de manière quantitative.
Trente-six pour cent des 1026 participants ont fait un régime amaigrissant dernièrement, souvent hyperprotéiné ou Weight Watchers. C’étaient surtout des femmes (84 %), de poids normal (30 %), pour l’esthétisme et sans suivi médical (pour 71 %). Peu de participants utilisaient les médicaments, le jeûne, le tabac ou les vomissements pour maigrir. Vingt-deux pour cent ne pratiquaient aucun sport. Les personnes ressources identifiées pour aider à gérer son poids étaient par ordre décroissant, la diététicienne, le nutritionniste, le médecin généraliste et le conjoint. Trois quarts des répondants estimaient que le suivi pondéral était une des fonctions des MG. Pourtant, 62 % ne parlaient pas de leur poids à leur médecin. Trente-neuf pour cent attendaient une sollicitation spontanée sur ce sujet. Les principaux freins invoqués à ce manque de suivi auprès du MG étaient la difficulté d’un suivi régulier et des consultations trop courtes.
Vu les dangers des régimes amaigrissants pour la santé (ANSES 2010), il est important de lutter contre le culte de la minceur qui engendre une « préoccupation excessive à l’égard du poids ». Les MG doivent contribuer à la promotion du poids-santé et informer sur les risques liés à ces pratiques restrictives auto-prescrites.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur En ligne : http://www.sciencedirect.com [article] Pratiques de contrôle du poids et place du médecin généraliste dans la gestion pondérale. À propos d’une enquête en Pays de la Loire = Patients’ expectations regards to the role of their GP in weight follow-up. About a survey in Pays de la Loire [texte imprimé] . - 2016 . - p. 26-32.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 1 volume 51 (février 2016)
Descripteurs : [Motbis] médecine générale Tags : Pratique de contrôle du poids Gestion pondérale Résumé : Les Françaises entreprennent souvent des régimes amaigrissants, ce en l’absence de surpoids. Cette étude transversale quantitative consiste en un état des lieux des pratiques d’amaigrissement auprès de sujets majeurs présents en salle d’attente de cabinet de médecine générale. Un autre objectif est d’identifier le rôle attribué au médecin généraliste (MG) dans le suivi pondéral.
Des autoquestionnaires ont été distribués aux volontaires et recueillis du 17 avril au 27 juin 2014, dans la région Pays de la Loire. Ils ont été analysés de manière quantitative.
Trente-six pour cent des 1026 participants ont fait un régime amaigrissant dernièrement, souvent hyperprotéiné ou Weight Watchers. C’étaient surtout des femmes (84 %), de poids normal (30 %), pour l’esthétisme et sans suivi médical (pour 71 %). Peu de participants utilisaient les médicaments, le jeûne, le tabac ou les vomissements pour maigrir. Vingt-deux pour cent ne pratiquaient aucun sport. Les personnes ressources identifiées pour aider à gérer son poids étaient par ordre décroissant, la diététicienne, le nutritionniste, le médecin généraliste et le conjoint. Trois quarts des répondants estimaient que le suivi pondéral était une des fonctions des MG. Pourtant, 62 % ne parlaient pas de leur poids à leur médecin. Trente-neuf pour cent attendaient une sollicitation spontanée sur ce sujet. Les principaux freins invoqués à ce manque de suivi auprès du MG étaient la difficulté d’un suivi régulier et des consultations trop courtes.
Vu les dangers des régimes amaigrissants pour la santé (ANSES 2010), il est important de lutter contre le culte de la minceur qui engendre une « préoccupation excessive à l’égard du poids ». Les MG doivent contribuer à la promotion du poids-santé et informer sur les risques liés à ces pratiques restrictives auto-prescrites.Nature du document : documentaire Niveau : BTS/Enseignement supérieur En ligne : http://www.sciencedirect.com
Titre : Vitamine K, antivitamine K et alimentation Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire Bal dit Sollier, Auteur ; Ludovic Drouet, Auteur Année : 2009 Article : p. 273 à 277
in Cahiers de nutrition et de diététique > 6 Volume 44 (décembre 2009)Descripteurs : [Motbis] coagulation
[Motbis] fonction de nutrition
[Motbis] médecine générale
[Motbis] vitamineTags : vitamine K anticoagulant ostéoporose phylloquinone ménaquinones Résumé : Les différents types de vitamines K, leurs origines, leurs possibilités relatives d'absorbtion et de métabolisme, leurs effets relatifs sur la gammacarboxylation de différentes protéines jouant des rôles clefs dans l'hémostase et la coagulation et les calcifications sont relativement mal connues même de milieux dit experts et sont à l'origine d'erreurs de recommandations. Cet article essaie de faire le point sur l'état actuel des connaissances et sur ses conséquences pratiques, en particulier sur la conduite des traitement anticoagulants oraux qui jusqu'à aujourd'hui ne reposent que sur les antivitamines K. Nature du document : documentaire [article] Vitamine K, antivitamine K et alimentation [texte imprimé] / Claire Bal dit Sollier, Auteur ; Ludovic Drouet, Auteur . - 2009 . - p. 273 à 277.
in Cahiers de nutrition et de diététique > 6 Volume 44 (décembre 2009)
Descripteurs : [Motbis] coagulation
[Motbis] fonction de nutrition
[Motbis] médecine générale
[Motbis] vitamineTags : vitamine K anticoagulant ostéoporose phylloquinone ménaquinones Résumé : Les différents types de vitamines K, leurs origines, leurs possibilités relatives d'absorbtion et de métabolisme, leurs effets relatifs sur la gammacarboxylation de différentes protéines jouant des rôles clefs dans l'hémostase et la coagulation et les calcifications sont relativement mal connues même de milieux dit experts et sont à l'origine d'erreurs de recommandations. Cet article essaie de faire le point sur l'état actuel des connaissances et sur ses conséquences pratiques, en particulier sur la conduite des traitement anticoagulants oraux qui jusqu'à aujourd'hui ne reposent que sur les antivitamines K. Nature du document : documentaire
